28/02/2009

ANNEE SAINT PAUL






SUR SES PAS...



Cette année l'Eglise nous propose de voyager avec St Paul et d'écouter ses récits. St Paul, pharisien convaincu s'éleva contre le christianisme avec fureur. Il fut complice des arrestations et des meurtres commis contre les chrétiens. Un jour, sur le chemin de Damas, une éblouissante lumière le cloua au sol. Vous savez la suite...
Le persécuteur devient disciple du Christ. Il reconnaît en Lui le Messie annoncé par les prophètes de son peuple depuis des siècles. Nous sommes dans les années 40 de notre ère.
Qui donc est Paul? Qu'a-t-il fait? Il n'a qu'une passion, qu'une raison de vivre: celle de proclamer partout Jésus-Christ, fils de Dieu. Il parcourt l'Asie Mineure, les côtes méditerranéennes, la Grèce... des lieux où bien des Juifs étaient dispersés. Il prend la parole dans les synagogues, il y affirme le caractère universaliste de la Parole de Dieu. Ses longs parcours le mettent en contact avec toutes les civilisations de cette partie du monde antique. A l'heure où les apôtres sont rebutés par l'opposition des Juifs, Paul et ses disciples se tournent vers les païens. Ils savent que l'Evangile, la Bonne Nouvelle, n'a pas de frontières. Dieu n'avait-il pas dit à Isaïe: "Je t'ai établi pour être la lumière du monde et porter le salut jusqu'aux confins de la terre"?
Paul vient délivrer les hommes de la rigueur de la loi juive, du réseau serré de la multitude des prescriptions que les siècles de judaïsme avaient dictées. Or à ses yeux, comme dans les évangiles, deux seuls commandements ont du prix: la foi en la Parole de Dieu et l'amour des frères. Ils contiennent toute la Loi. Croire dans le Christ, c'est unir totalement ceux qui communient à sa Vie par le baptême. "Il n'y a plus ni Juif, ni Grec, ni esclave, ni hommes libres, ni homme, ni femme, car tous vous n'êtes qu'Un en Jésus-Christ"
Découvrons St Paul dans ses actions et ses écrits. Nos communautés dans nos Maisons de Dieu forment aussi un seul corps. Nos équipes en sont les membres aux fonctions différentes selon leurs aspirations ou les appels reçus. A la suite de St Paul consolidons nos demeures où nous serons à l'écoute de la Parole, pour l'annoncer à temps et à contretemps.
CA. (Edito Bonne Nouvelle)

27/02/2009

Vatican II, contribution au débat...

" Vatican II demeure la boussole la plus importante pour l’Eglise catholique"

Dans le journal Pèlerin du 5 février 2009, Mgr Eric Aumonier, Evêque de Versailles, s’exprime sur Vatican II.

« Vatican II demeure la boussole la plus importante pour l’Eglise catholique. Par ce Concile, en continuité avec tous les autres, la transmission de la Parole vivante de Dieu (c’est cela, la Tradition) s’effectue. Pour mesurer à quel point le Concile fut un ferment de renouveau et de conversion, il faut voir le jaillissement des communautés, des groupes de prière, des formes nouvelles de vie religieuse, des instituts séculiers. Il faut considérer la réforme interne de l’Eglise : l’intensification des relations entre évêques, prêtres et laïcs ; la restauration du diaconat permanent ; la parution du catéchisme de l’Eglise catholique. Sans parler des fruits de sainteté, comme mère Teresa et tant d’autres, qui se sont nourris de l’enseignement du Concile ! A la suite de chaque concile, il y a des refus, des interprétations erronées. Vatican II n’a pas fait exception. Il ne s’agit pas de le nier, mais de voir les choses en perspective. Depuis quarante ans, l’attention liturgique a plutôt grandi que faibli, la parole de Dieu est davantage connue et entendue, la recherche de l’unité des chrétiens a fait des pas considérables, les bases saines du dialogue interreligieux et du dialogue avec le peuple juif ont été posées. Certes, on ne peut qu’être impressionné par la chute du nombre de vocations et de la pratique religieuse. Mais prêter au Concile ce qui doit être attribué à la désertification des campagnes, à la déchristianisation, au matérialisme, n’est tout simplement pas honnête. Je n’ose imaginer ce que seraient devenues les communautés catholiques si on avait pensé, pour mieux les évangéliser, se passer du Concile ! »

Message du Pape pour le Carême 2009

Le Pape Benoit XVI, dans son message pour le Carême 2009 nous
invite à réfléchir sur le sens du jeûne.

Chers frères et soeurs !

Au commencement du Carême, qui constitue un chemin d’entraînement spirituel intense, la Liturgie nous propose à nouveau trois pratiques pénitentielles très chères à la tradition biblique et chrétienne – la prière, l’aumône et le jeûne – pour nous préparer à mieux célébrer la Pâque et faire ainsi l’expérience de la puissance de Dieu qui, comme nous l’entendrons au cours de la Veillée Pascale, « triomphe du mal, lave nos fautes, redonne l’innocence aux pécheurs, la joie aux affligés, dissipe la haine, nous apporte la paix et humilie l’orgueil du monde » (Annonce de la Pâque). En ce traditionnel Message du Carême, je souhaite cette année me pencher plus particulièrement sur la valeur et le sens du jeûne. Le Carême en effet nous rappelle les quarante jours de jeûne vécus par le Seigneur dans le désert, avant le commencement de sa mission publique. Nous lisons dansl’Evangile : « Jésus fut conduit au désert par l’Esprit pour être tenté par le démon. Après avoir jeûné quarantejours et quarante nuits, il eut faim » (Mt 4,1-2). Comme Moïse avant de recevoir les Tables de la Loi, (cf. Ex34,28), comme Élie avant de rencontrer le Seigneur sur le mont Horeb (cf. 1 R 19,8), de même Jésus, en priant et en jeûnant, se prépare à sa mission, dont le début fut marqué par une dure confrontation avec le tentateur.
Nous pouvons nous demander quelle valeur et quel sens peut avoir pour nous, chrétiens, le fait de se priver de quelque chose qui serait bon en soi et utile pour notre subsistance. Les Saintes Écritures et toute la tradition chrétienne enseignent que le jeûne est d’un grand secours pour éviter le péché et tout ce qui conduit à lui. C’est pourquoi, dans l’histoire du salut, l’invitation à jeûner revient régulièrement. Déjà dans les premières pages de la Sainte Écriture, le Seigneur commande à l’homme de s’abstenir de manger du fruit défendu : « Tu pourras manger de tous les arbres du jardin, mais de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu ne mangera pas, car le jour où tu en mangeras, certainement tu mourras. » (Gn 2,16-17). En commentant l’injonction divine, saint Basile observe que « le jeûne a été prescrit dans le paradis terrestre », et « ce premier précepte a été donné à Adam ». Il conclut ainsi : « Cette défense – 'tu ne mangeras pas' – est une loi de jeûne et d’abstinence » (cf. Homélie sur le jeûne : PG 31, 163, 98). Parce que tous nous sommes appesantis par le péché et ses conséquences, le jeûne nous est offert comme un moyen pour renouer notre amitié avec le Seigneur. C’est ce que fit Esdras avant le voyage du retour de l’exil en Terre promise, quand il invita le peuple réuni à jeûner « pour s’humilier – dit-il – devant notre Dieu » (8,21). Le Tout Puissant écouta leur prière et les assura de sa faveur et de sa protection. Les habitants de Ninive en firent autant quand, sensibles à l’appel de Jonas à la repentance, ils proclamèrent, comme témoignage de leur sincérité, un jeûne en disant: « Qui sait si Dieu ne se ravisera pas et ne se repentira pas, s’il ne reviendra pas de l’ardeur de sa colère, en sorte que nous ne périssions point ? » (3,9). Là encore, Dieu vit leurs oeuvres et les épargna.
Dans le Nouveau Testament, Jésus met en lumière la raison profonde du jeûne en stigmatisant l’attitude des pharisiens qui observaient avec scrupule les prescriptions imposées par la loi, alors que leurs coeurs étaient loin de Dieu. Le vrai jeûne, redit encore en d’autre lieux le divin Maître, consiste plutôt à faire la volonté du Père céleste, lequel « voit dans le secret et te récompensera » (Mt 6,18). Lui-même en donne l’exemple en répondant à Satan, au terme des quarante jours passés dans le désert : « Ce n’est pas de pain seul que vivra l’homme, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu » (Mt 4,4). Le vrai jeûne a donc pour but de manger « la vraie nourriture », qui consiste à faire la volonté du Père (cf. Jn 4,34). Si donc Adam désobéit à l’ordre du Seigneur « de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal », le croyant entend par le jeûne se soumettre à Dieu avec humilité, en se confiant à sa bonté et à sa miséricorde.
La pratique du jeûne est très présente dans la première communauté chrétienne (cf. Act 13,3; 14,22; 27,21; 2 Cor 6,5). Les Pères de l’Église aussi parlent de la force du jeûne, capable de mettre un frein au péché, de réprimer les désirs du « vieil homme », et d’ouvrir dans le coeur du croyant le chemin vers Dieu. Le jeûne est en outre une pratique récurrente des saints, qui le recommandent. Saint Pierre Chrysologue écrit : « Le jeûne est l’âme de la prière, la miséricorde est la vie du jeûne. Donc, celui qui prie doit jeûner ; celui qui jeûne doit avoir pitié ; qu’il écoute l’homme qui demande, et qui en demandant souhaite être écouté ; il se fait entendre de Dieu, celui qui ne refuse pas d’entendre lorsqu’on le supplie » (Sermo 43: PL 52, 320. 332).
De nos jours, la pratique du jeûne semble avoir perdu un peu de sa valeur spirituelle et, dans une culture marquée par la recherche du bien-être matériel, elle a plutôt pris la valeur d’une pratique thérapeutique pour le soin du corps. Le jeûne est sans nul doute utile au bien-être physique, mais pour les croyants, il est en premier lieu une « thérapie » pour soigner tout ce qui les empêche de se conformer à la volonté de Dieu. Dans la Constitution apostolique Pænitemini de 1966, le Serviteur de Dieu Paul VI reconnaissait la nécessité de remettre le jeûne dans le contexte de l’appel de tout chrétien à « ne plus vivre pour soi-même, mais pour Celui qui l’a aimé et s’est donné pour lui, et aussi à vivre pour ses frères » (cf. Ch. I). Ce Carême pourrait être l’occasion de reprendre les normes contenues dans cette Constitution apostolique, et de remettre en valeur la signification authentique et permanente de l’antique pratique pénitentielle, capable de nous aider à mortifier notre égoïsme et à ouvrir nos coeurs à l’amour de Dieu et du prochain, premier et suprême commandement de la Loi nouvelle et résumé de tout l’Évangile (cf. Mt 22,34-40).
La pratique fidèle du jeûne contribue en outre à l’unification de la personne humaine, corps et âme, en l’aidant à éviter le péché et à croître dans l’intimité du Seigneur. Saint Augustin qui connaissait bien ses inclinations négatives et les définissait comme « des noeuds tortueux et emmêlés » (Confessions, II, 10.18), écrivait dans son traité sur L’utilité du jeûne : « Je m’inflige certes un supplice, mais pour qu’Il me pardonne ; je me châtie de moi-même pour qu’Il m’aide, pour plaire à ses yeux, pour arriver à la délectation de sa douceur » (Sermon 400, 3, 3: PL 40, 708). Se priver de nourriture matérielle qui alimente le corps facilite la disposition intérieure à l’écoute du Christ et à se nourrir de sa parole de salut. Avec le jeûne et la prière, nous Lui permettons de venir rassasier une faim plus profonde que nous expérimentons au plus intime de nous : la faim et la soif de Dieu.
En même temps, le jeûne nous aide à prendre conscience de la situation dans laquelle vivent tant de nos frères.
Dans sa Première Lettre, saint Jean met en garde : « Si quelqu’un possède des richesses de ce monde et, voyant son frère dans la nécessité, lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeurerait-il en lui ? » (3,17).
Jeûner volontairement nous aide à suivre l’exemple du Bon Samaritain, qui se penche et va au secours du frère qui souffre (cf. Deus caritas est, 15). En choisissant librement de se priver de quelque chose pour aider les autres, nous montrons de manière concrète que le prochain en difficulté ne nous est pas étranger. C’est précisément pour maintenir vivante cette attitude d’accueil et d’attention à l’égard de nos frères que j’encourage les paroisses et toutes les communautés à intensifier pendant le Carême la pratique du jeûne personnel et communautaire, en cultivant aussi l’écoute de la Parole de Dieu, la prière et l’aumône. Ceci a été, dès le début, une caractéristique de la vie des communautés chrétiennes où se faisaient des collectes spéciales (cf. 2 Cor 8-9; Rm 15, 25-27), tandis que les fidèles étaient invités à donner aux pauvres ce qui, grâce au jeûne, avait été mis à part (cf. Didascalie Ap., V, 20,18). Même aujourd’hui, une telle pratique doit être redécouverte et encouragée, surtout pendant le temps liturgique du Carême.
Il ressort clairement de tout ce que je viens de dire, que le jeûne représente une pratique ascétique importante, une arme spirituelle pour lutter contre tous les attachements désordonnés
. Se priver volontairement du plaisir de la nourriture et d’autres biens matériels, aide le disciple du Christ à contrôler les appétits de sa nature affaiblie par la faute originelle, et dont les effets négatifs investissent entièrement la personne humaine. Une hymne antique de la liturgie du Carême exhorte avec pertinence : « Utamur ergo parcius, / verbis, cibis et potibus, /somno, iocis et arctius / perstemus in custodia – Nous utilisons plus sobrement les paroles, les nourritures, les boissons, le sommeil et les jeux, et avec plus d’attention, nous demeurons vigilants ».
Chers frères et soeurs, à bien regarder, le jeûne a comme ultime finalité d’aider chacun d’entre nous, comme l’écrivait le Serviteur de Dieu Jean-Paul II, à faire un don total de soi à Dieu (cf. Veritatis splendor, 21). Que le Carême soit donc mis en valeur dans toutes les familles et dans toutes les communautés chrétiennes, pour éloigner de tout ce qui distrait l’esprit et intensifier ce qui nourrit l’âme en l’ouvrant à l’amour de Dieu et du prochain. Je pense en particulier à un plus grand engagement dans la prière, la lectio divina, le recours au Sacrement de la Réconciliation et dans la participation active à l’Eucharistie, par dessus tout à la Messe dominicale. Avec cette disposition intérieure, nous entrons dans le climat de pénitence propre au Carême. Que la Bienheureuse Vierge Marie, Causa nostrae laetitiae nous accompagne et nous soutienne dans nos efforts pour libérer notre coeur de l’esclavage du péché et pour en faire toujours plus un "tabernacle vivant de Dieu ». En formulant ce souhait et en assurant de ma prière tous les croyants et chaque communauté ecclésiale afin que tous suivent avec profit l’itinéraire du Carême, j’accorde à tous et de tout coeur la Bénédiction Apostolique.
Du Vatican, le 11 décembre 2008
BENEDICTUS PP. XVI

15/02/2009

CAREME: CHEMIN VERS PAQUES.





Voici les propositions faites à tous les chrétiens par les Paroisses
" La Trinité d'Oloron" et "Saint Jacques du Piémont" pour le temps de Carême et la fête de la Résurrection, Pâques:

DANS LA PRIERE :
Plusieurs rendez-vous proposés:
-chaque mercredi de l'année, à 18h l'été et 17h30 l'hiver, un temps d'Adoration du Saint Sacrement a lieu à Sainte Marie: pendant tout le temps de Carême, nous sommes invités plus particulièrement à y participer;
-le vendredi tous les quinze jours, à 18h30, un temps de prière est également proposé (prochaine rencontre le 27 février, cathédrale)
6mars et 3avril: à Notre-Dame, 10h-10h30, prière en Béarnais.
Chemin de croix: chaque vendredi à 15h, paroisse t Jacques du Piémont:
° 27 février à Moumour; 6 mars, à Agnos; 13 mars, à Asasp; 20 mars à Gëus; 27 mars à Lurbe; 3 avril à Orin
Prière du Rosaire:
chaque mardi à 15h, paroisse St Jacques du Piémont:
° 3 mars à Gurmençon; 10 mars à Geüs; 17 mars à Arros;24 mars à Aren; 31 mars à Asasp; 7 avril à Moumour.
-le jeudi 19 mars (fête de Saint Joseph), à l5 heures, temps d'Adoration avec les Sœurs Carmélites, à la chapelle du Carmel.
DANS LE PARTAGE:
-du côté des enfants: les Kilomètres de Soleil, « Tous solidaires », les aideront à réfléchir sur leur manière de consommer et de soutenir les actions en faveur des enfants défavorisés dans plusieurs pays et en France pour aider ceux qui ne peuvent pas avoir de vacances; les enfants seront invités à un Rassemblement régional des Km de Soleil, à Lourdes, le samedi 4 avril;
-du côté des jeunes:
Aumônerie de l'enseignement public:
le CCFD propose de réfléchir sur le « sens du développement », la responsabilité des acteurs économiques et la manière de consommer; action en solidarité avec les jeunes travailleurs du Nicaragua.
Enseignement catholique:
réflexion, bol de riz, actions de partage etc
-du côté des adultes: avec le CCFD, la réflexion proposée va dans ce même sens;
pour cela, quelques propositions:
3 mars: soirée "Pain-Pomme" accompagnée d'une réflexionsur le sens du développement à partir d'un exemple précis
* 5ème dimanche de Carême (29 mars): liturgie proposée par le CCFD et appel à participer à la collecte de Carême.
* quête pour soutenir les projets de développement, en particulier au Nicaragua
* une soirée rencontre avec un partenaire venu du Nicaragua: 24 ou 25 mars, à
Bidos
DANS LA REFLEXION
-Nous sommes dans « l'année Saint Paul» : des livrets, proposés dans le Diocèse, sont à la disposition des personnes qui veulent se retrouver en petits groupes pour partager, réfléchir, prier, avec « l'apôtre Saint Paul, un missionnaire pour notre temps ». Une soirée « lancement»(26 février à 20h30 rue d'Arboré) est annoncée dans le programme de Carême diffusé dans les églises.
-Une rencontre réflexion-débat (un samedi après-midi) sera organisée autour du thème de la « crise» économique, financière, sociale, évoquée, vécue en cette période; elle sera annoncée au cours des messes et aux portes des églises.
CELEBRATIONS DU TEMPS DE CAREME:
-Mercredi des Cendres, 25 février: messes
*9 h : au Carmel; 17 h : église de Gurmençon ; 19 h : à Sainte Marie
- Dimanche 15 mars, 10 h 30, à Ste Marie: messe des familles avec la 3ème étape vers le baptême d'enfants en âge scolaire
RAMEAUX 4- 5 avril: messes
Samedi soir, 19 h : à Notre Dame, avec les jeunes des Aumôneries
18h30 à Asasp
Dimanche: 9 h : au Carmel; 10 h 30, à Ste Marie et à Géronce; 15 h : sacrement des
malades et Eucharistie avec nos frères malades; 19 h : à Ste Croix.
SEMAINE SAINTE 6-12 avril
-Lundi Saint:
messe Chrismale à la cathédrale de Bayonne: 10h30
-Jeudi Saint:
15 h: célébration de la Cène du Seigneur, au Carmel;
19 h : à Notre Dame, messe pour les paroisses La Trinité et St Jacques du
Piémont, suivie d'une veillée d'Adoration jusqu'à Minuit.
-Vendredi Saint:
12 h -14 h: jeûne et prière à l'église de Bidos avec un Chemin de Croix proposé par le CCFD
15 h: à Ste Marie, chemin de Croix
15 h: au Carmel, célébration de la Passion et de la mort du Christ
19 h : à Ste Croix, célébration œcuménique de la Passion du Christ
-Samedi Saint: Vigile pascale
20 h : à Gurmençon
21 h30: à SteMarie
-Dimanche de Pâques: messes
8 h 30 : à Ste Marie
9 h : au Carmel
10 h 30 : à Notre Dame
10h30 à Géronce
19 h: à Ste Croix en Béarnais
SACREMENT DE LA RECONCILIATION / PENITENCE:
-Confessions Individuelles (permanences):
*Vendredi 3 avril: à Gurmençon, de 17hà 19h
*Samedi 4 avril: à Ste Marie de 16 h à 18 h ; à Notre Dame de 17 h à 18 h
*Vendredi 10 avril: à Notre Dame de 10 h à 1l h 30
*Samedi 11 avril: à Ste Marie de 16 h à 18 h; à Notre Dame de 17 à 18 h
-Célébrations Communautaires:
*Jeudi 2 avril: à Ste Marie: 19 h
*Mardi 7 avril: à Moumour: 19 h 30
*Mercredi 8 avril: à Notre Dame: 19 h

Bonne route de Carême, dans la prière, le jeûne, le partage et la réflexion... à la rencontre du Ressuscité !