NOMINATION
L'abbé Eustache Fortuné HOUNDJEMON prêtre "fidei donum" du diocèse de Cotonou (Bénin), en mission d'études à l'Institut Catholique de Toulouse, est aussi nommé dans le doyenné d'Oloron-Ossau, prêtre coopérateur de la paroisse La Trinité d'Oloron-Oloron, pour trois ans. Cette nomination prend effet le 1er octobre 2013.
Nous lui souhaitons la bienvenue.
17/09/2013
04/09/2013
L’APPEL DU PAPE FRANÇOIS POUR LA PAIX
EN SYRIE
Une journée de jeûne et de prière
samedi 7 septembre
Le pape
François a décidé, dimanche dernier, lors de l’Angélus, l’organisation, samedi
7 septembre, veille de la célébration de la Nativité de Marie, Reine de la Paix,
d’une journée de prière et de jeûne pour la paix en Syrie, au Moyen-Orient et
dans le monde entier. Lui-même présidera, ce jour-là, place Saint-Pierre, de
19h à minuit, une veillée de prière.
Le Saint
Père, qui propose à l’ensemble des croyants et à tous les hommes de bonne
volonté de s’associer à cet appel, souhaite qu’au sein de l’Eglise catholique,
les diocèses et les paroisses s’unissent à cette journée de jeûne et prennent
certaines initiatives en faveur de la paix.
Dans notre diocèse, une veillée de
prière pour la paix en Syrie et dans le monde aura lieu samedi 7 septembre, à
Bayonne, à 20h30, en l’église Saint-André. Je demande par ailleurs à l’ensemble
des catholiques du diocèse de prier individuellement, en famille ou en
communauté, pour la paix dans le monde ce jour-là. Je souhaite enfin que les
messes qui seront célébrées samedi soir le soient également à cette intention
(on pourra prendre dans le Missel le formulaire de la Messe pour la paix et la
justice).
J’invite à
cette occasion les catholiques du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron à méditer, pour en saisir l’enjeu et la
portée, l’appel du Saint Père en faveur de la paix en Syrie.
La plupart
des observateurs considèrent qu’une intervention militaire planifiée par certaines
puissances occidentales avec ou sans mandat de l’ONU aura probablement lieu
dans les jours qui viennent en Syrie. Or, « la
guerre appelle la guerre, la violence appelle la violence » (Pape
François, Angélus du dimanche 1er septembre)…
Loin de
favoriser le retour à la paix, une telle intervention ne ferait en effet qu’attiser
la haine entre belligérants et qu’accroître le nombre de victimes civiles et
militaires du conflit. Sans doute servirait-elle les intérêts, non de
« l’opposition » au régime, d’ailleurs fortement divisée, mais de
milices islamiques qui font régner la terreur dans certaines zones qu’elles
contrôlent et persécutent les minorités religieuses, en particulier les
chrétiens. Elle ne ferait en définitive qu’aggraver la situation dramatique qui
prévaut actuellement dans ce pays, au risque de déstabiliser et d’embraser
l’ensemble du Moyen-Orient, voire de mettre en péril, par un redoutable jeu des
alliances la paix dans le monde (1).
Qu’on le veuille ou non, le dernier espoir de paix et de
réconciliation en Syrie consiste à faire prévaloir la recherche de la vérité
sur certaines tentatives de manipulation de l’opinion publique (2), à défendre
la liberté et la souveraineté du peuple syrien plutôt que les intérêts
particuliers de certains Etats, et surtout, à privilégier la diplomatie, le
dialogue et l’ouverture de négociations entre toutes les parties en présence,
plutôt qu’un illusoire recours à la force.
Car en tous
temps et en tous lieux, « La paix
est le fruit de la justice » (Isaïe 32, 17).
+ Marc
Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron
le 4 septembre 2013.
1-
Interviewé le 26
août dernier par « Radio Vatican », Mgr Antoine Audo, évêque
catholique chaldéen d’Alep, a déclaré : « s’il y avait une intervention militaire,
cela voudrait dire, selon mon appréciation, une guerre mondiale ».
2- S.B.Louis Raphaël Ier Sako,
patriarche de Babylone des Chaldéens, rappelait, le 28 août, qu’en 2003, « les occidentaux ont justifié
l’intervention contre Saddam Hussein en l’accusant de posséder des armes de
destruction massive, mais ces armes n’ont pas été trouvées ».
17/08/2013
Message
Message de Sébastien BAUDRY, séminariste,
aux paroissiens de la TRINITE D'OLORON
« J’étais un étranger et vous m’avez accueilli. » (Mt 25,35)
En
Septembre dernier, j’arrivais dans vos paroisses afin d’y effectuer une année
d’insertion dans le but de découvrir la vie du prêtre, le contact avec les
paroissiens ainsi que les us et coutumes de notre beau Béarn. Grâce à votre
accueil et votre disponibilité, vous avez permis que ce stage se déroule le
mieux possible et m'avez fait aimer ce que j’avais à accomplir : visiter des
personnes âgées, seules ou malades, transmettre la foi par le catéchisme à des
enfants de la Petite Enfance, de CE 1 et
CE 2, participer au service de la liturgie,
et vivre d’autres temps forts. Pour cela, soyez toutes et tous
remerciés. Je remercie également l’équipe des prêtres pour leur soutien et leur
appui.
Mon
insertion touche à sa fin et répond à mon désir de continuer à suivre le Christ
afin de le servir et me rendre plus proche du peuple de Dieu. Je vous annonce
avec grande joie que je poursuis ma formation au Séminaire de Bayonne par mon
entrée en Second Cycle.
Vous
resterez gravés dans ma mémoire et ma prière. Que le Seigneur vous fortifie
jour après jour dans la foi, que Notre-Dame vous protège. Merci de prier pour
moi afin que je sois toujours fidèle à l’appel du Seigneur.
Avec mon
amitié fraternelle,
Sébastien
BAUDRY
14/06/2013
Paris le vendredi 3 mai 2013
Info-presse Diaconia 2013
Message de Marie-France, Alain, Laurence du groupe Place et Paroles des Pauvres lors de l’ouverture de Diaconia le 9 mai 2013.
Marie-France :
La diaconie, on s’est demandé ce que ça voulait dire. C’est le service. L’aide.
C’est écouter. Être avec les autres.
C’est un service d’Eglise pour les personnes abîmées à cause de la maladie, le deuil, la prison, les accidents de la vie, les injustices, le chômage, la rue…
C’est une façon d’être, une attention à tous ceux qui n’ont pas trouvé leur place dans la vie et même pas dans l’Eglise. Je me rappelle que sur la porte d’une église, il y avait un tag et on pouvait lire : « Ouvrez les portes » « Dieu est à tous ».
La diaconie c’est utile pour tout le monde.
Ensemble, on peut transformer des choses, et faire comprendre que l’Eglise n’est pas réservée à certaines personnes.
*Ensemble, on va construire un autre chemin, une autre expérience, pour que dans les rencontres, il y ait l’échange et l’écoute, et que quand on sort de l’église, on fasse ce qu’on a dit.
Diaconia , ça peut être le début d’autre chose :
Réveiller l’Église à une autre dimension, c’est-à-dire une manière de suivre le Christ dans sa manière à lui d’être avec les plus pauvres. Parce que lui, Jésus, il a traversé le même chemin que les pauvres.
La diaconie, c’est aussi une certaine humilité.
On a pensé aussi qu’il faut pouvoir faire des petits groupes, pour se voir plus souvent les uns les autres.
Les pauvres, il faut qu’ils puissent ouvrir leur coeur avec les riches.
Il faut aller voir les gens. Enlever la honte de ne pas être instruits, ne pas avoir peur d’entrer dans l’Église.
L’amour commence là.
Lire la suite... Cliquez ICI04/06/2013
25/05/2013
Ouverture du rassemblement
Intervention d’Etienne Grieu (Jésuite, théologien)
Tout à l'heure, nous avons chacun réfléchi sur une question :
« Quels visages de personnes me reviennent, qui, à un moment où j'en avais besoin m'ont aidé à me relever ? »
Cette question, elle n'a l'air de rien, mais elle est très importante. Je vous propose de revenir là-dessus deux minutes, car c'est sans doute par là que, pour chacun d'entre nous, tout a commencé. Et puis, sans ces personnes qui nous ont aidés à nous relever, nous ne serions peut-être pas ici aujourd'hui. Ces personnes-là, elles nous ont appelés – ou rappelés – à l'existence. Elles ont relayé pour nous la parole et les gestes qui font vivre, qui soulèvent le couvercle qui, certains jours, peut peser sur notre tête. Et ce couvercle, parfois, il est lourd comme une chape de plomb, ou comme une dalle de béton.
Tous nous pouvons faire mémoire de cela : tous, nous avons été appelés à l'existence, et cet appel est passé pour chacun par des personnes précises que nous pouvons nommer. C'est qqchse que nous avons tous en commun. Et faire mémoire de cela nous met déjà en communion
Arrêtons- nous un peu, sur ces personnes qui nous ont appelés ou rappelés à l'existence. Qu'est-ce qu'elles nous ont dit, qu'est-ce qu'elles ont fait, qui a eu sur nous un tel effet ?
Parfois, c'est tout simple : ces personnes, elles nous ont appelés par notre nom. Elles ont prononcé notre nom ; pas sur le ton d'une convocation ou d'un contrôle d'identité, mais parce qu'elles étaient heureuses de nous voir, de nous entendre.
Ces personnes, elles nous ont regardés avec espérance. Ce n'était pas un regard de jugement, ce n'était pas non plus des clichés projetés sur nous, c'était comme disait Bernadette en parlant de la dame qu'elle avait vue à la grotte,
quelqu'un qui nous « regardait comme une personne »; ça, c'est un regard qui appelle,
qui dit : « Je te connais un peu, mais tu as sans doute encore beaucoup de choses précieuses en toi qu'on n'a pas encore vues ».
quelqu'un qui nous « regardait comme une personne »; ça, c'est un regard qui appelle,
qui dit : « Je te connais un peu, mais tu as sans doute encore beaucoup de choses précieuses en toi qu'on n'a pas encore vues ».
Et puis, ces personnes qui nous ont relevés, elles avaient peut-être ce don, cette délicatesse, pour reconnaître ce qui en nous avait soif, ou était douloureux et nous rejoindre en ce point là. Jésus était comme ça ; nous l'avons entendu tout à l'heure :
« Jésus rencontre la personne dans son besoin ».
« Jésus rencontre la personne dans son besoin ».
Ces personnes qui nous ont relevés, même quand elles ont aussi été exigeantes pour nous, elles nous ont en même temps ouvert leur coeur. C'est-à-dire, elles ne se sont pas présentées à nous bardées de compétences et de savoirs et de certitudes, mais avec un coeur ouvert. Tout à l'heure, une personne du groupe PPP disait:
« Les pauvres, il faut qu'ils puissent ouvrir leur coeur avec les riches ». Eh bien ceux qui nous ont relevés, ceux qui nous ont appelés à l'existence, ils avaient le même désir
que les pauvres : ouvrir leur coeur.
« Les pauvres, il faut qu'ils puissent ouvrir leur coeur avec les riches ». Eh bien ceux qui nous ont relevés, ceux qui nous ont appelés à l'existence, ils avaient le même désir
que les pauvres : ouvrir leur coeur.
D'ailleurs, parmi ces personnes qui nous ont appelés à l'existence, il n'y avait sans doute pas que des gens en pleine forme. Cherchons bien, et nous pourrions reconnaître que les appels les plus clairs et les plus puissants que nous avons entendus venaient souvent de personnes en grande vulnérabilité, voire même en détresse. Malgré cela, elles nous ont appelés, elles nous ont relevés. Parfois, de tels appels contiennent en eux un pardon, quand ils invitent à dépasser ce qui en nous s'était montré étriqué, fuyant ou fermé. Cela aussi, nous avons pu l'entendre de la part de personnes elles-mêmes en situation de grande faiblesse, non ?
Eh bien, savez-vous, quand nous avons fait ainsi l'expérience d'être relevés, on peut dire avec certitude que nous avons été touchés par les appels de Dieu, par le don de Dieu, par la grâce de Dieu.
Parfois nous nous demandons : Dieu à quoi ressemble-t-il ? Jésus il était comment ? Eh bien, ces paroles, ces gestes, ces visages qui nous relèvent, qui nous appellent à l'existence, ils sont pleins de Dieu, ils le laissent passer. Si je cherche à connaître Dieu, voilà une voie royale pour le découvrir.
A partir de là, vous pouvez comprendre pourquoi, dans votre livret Prions en Eglise,
pages 24-25, là où vous sont données « trois questions à habiter » pour ces trois jours à Lourdes, il y a une première interrogation qui est formulée ainsi :
« Qu'est-ce que je découvre de Toi? [avec un T majuscule], on peut donc lire:
« Qu'est-ce que je découvre de Toi, mon Dieu] à travers la rencontre de l'autre ? »
pages 24-25, là où vous sont données « trois questions à habiter » pour ces trois jours à Lourdes, il y a une première interrogation qui est formulée ainsi :
« Qu'est-ce que je découvre de Toi? [avec un T majuscule], on peut donc lire:
« Qu'est-ce que je découvre de Toi, mon Dieu] à travers la rencontre de l'autre ? »
La rencontre de l'autre peut être l'occasion de découvrir quelque chose de Dieu. Pas forcément les rencontres où tout baigne dans l'huile, mais justement, ces rencontres où le coeur s'ouvre, où chacun est en vérité, et où chacun fait signe à l'autre comme pour lui dire qu'on tient à lui.
Vous voilà donc avec cette question, que vous pouvez garder précieusement durant ce temps à Lourdes, et même après :
« Qu'est-ce que je découvre de toi, mon Dieu, dans la rencontre de l'autre? ». Alors, une proposition, pour ces trois jours : soyons attentifs à cela, à chacun d'entre nous, tout au long de ces trois jours, au hasard des rencontres, prévues ou totalement imprévues, que nous ferons: qu'est-ce que je découvre de Toi, mon Dieu, dans la rencontre de ces frères et soeurs, connus ou inconnus, que tu mets maintenant sur mon chemin, qu'est-ce que je découvre de toi dans leurs gestes, leurs paroles, leurs attitudes vis-à-vis de moi ou vis à vis des autres ?
« Qu'est-ce que je découvre de toi, mon Dieu, dans la rencontre de l'autre? ». Alors, une proposition, pour ces trois jours : soyons attentifs à cela, à chacun d'entre nous, tout au long de ces trois jours, au hasard des rencontres, prévues ou totalement imprévues, que nous ferons: qu'est-ce que je découvre de Toi, mon Dieu, dans la rencontre de ces frères et soeurs, connus ou inconnus, que tu mets maintenant sur mon chemin, qu'est-ce que je découvre de toi dans leurs gestes, leurs paroles, leurs attitudes vis-à-vis de moi ou vis à vis des autres ?
A partir de là on peut aller vers une 2e question que vous trouvez, dans votre petit livret, page 25. Je vous la lis : « Etre au service : ça change quoi pour moi ? Ça m'engage à quoi ? Quels appels j'entends à mettre mes pas dans ceux du Serviteur (le Christ) ? »
D'abord, je dois faire remarquer que cette question n'est pas la première. Elle vient en 2e position, après celle sur ce qu'on découvre de Dieu dans la rencontre de l'autre. Cela indique qu'être au service, c'est comme « faire réponse » à tout ce que nous avons reçu, à cet appel à l'existence qui nous fait tenir debout.
Donc vous voyez, vu de cette manière là, le serviteur, c'est quelqu'un qui redonne de ce qu'il a reçu, tous les appels qu'il a entendus. Le groupe PPP a dit tout à l'heure, « pour nous, on peut dire que la diaconie, c'est le fait d'être messagers ». Eh bien, c'est tout à fait cela. Dans le Nouveau Testament, un serviteur, un diakonos, c'est quelqu'un qui est envoyé pour partager ce qu'il a reçu. Il se fait messager des bonnes choses qu'il a reçues.
Vu de cette manière- là, être serviteur, ça n'est pas d'abord, faire des tas de choses ; c'est d'abord, laisser passer les bonnes choses qu'on a reçues, qu'on a entendues. Un serviteur
accueille et redonne, accueille et ne retient pas, comme les disciples quand ils partagent le pain que Jésus donne : leurs mains sont ouvertes pour recevoir et redonner.
Parfois on trouve que le mot « diaconie » est compliqué; on se demande,
«ça veut dire quoi ? » ; eh bien voilà, c'est comme les disciples, et comme Jésus lui-même, accueillir ce qui fait vivre, ce qui vient de Dieu, et le laisser passer, le porter à ceux que je rencontre.
Alors dans cette 2e question que vous avez p. 25 dans votre livret, vous pourrez remarquer qu'il y a deux aspects :
d'abord : « Etre au service, ça change quoi pour moi ? ». Là, on vous propose de vous arrêter un tout petit peu pour vous demander: être serviteur, ça fait quoi ? Ça change quoi ? Poser cette question, c'est une manière d'attirer l'attention sur ce que ça provoque en nous, cette décision de redonner un peu de notre trésor. Il se pourrait que lorsqu'on a ainsi les mains ouvertes, quelque chose de très précieux nous soit donné : quelque chose comme un passage de Dieu au milieu de nous.
Et il y a un 2e aspect à cette question : « ça m'engage à quoi ? Quels appels j'entends à mettre mes pas dans ceux du Serviteur (le Christ) ? »; ça m'engage à quoi, ça m'appelle à quoi, parce qu'être serviteur, c'est aussi une décision que l'on prend. Ça passe par des choix. Des priorités. Des choix dans son agenda, dans son réseau de relations, dans la manière de mobiliser son énergie.
J'ai insisté sur le versant « accueil » de la diaconie, qui est premier. La diaconie n'est pas qu'activité, elle commence par là. Mais évidemment, il y a aussi un versant actif : c'est une décision, une manière d'engager sa vie en réponse à Dieu, à la suite du Christ. Alors, qu'est-ce que j'entends comme appel, de ce côté-là, est-ce que je suis prêt à y répondre ? C'est donc là la deuxième question sur votre livret, p. 25.
Bon, mais on ne va pas s'arrêter en si bon chemin. Nous vous proposons encore une 3e question qui fait le lien entre service et Eglise. C'est qu'un serviteur qui voudrait être serviteur tout seul, eh bien il risque de ne pas rester serviteur très longtemps. On a besoin tout le temps des autres pour être relancés comme serviteur. D'où cette 3e question.
Cette 3e question, c'est d'abord un petit exercice d'imagination :
« Une Eglise au service (ou une Eglise servante) quelles images cette expression fait-elle naître en moi ? » Ça ressemblerait à quoi, pour vous une Eglise au service ? Vous savez, si on vous demande ça, c'est parce qu'on a besoin dans l'Eglise, de l'imagination de tous. Les bonnes idées ne viennent pas que d'en haut ; elles viennent quand tout le monde se demande, « tiens, à quoi ça pourrait ressembler une Eglise au service ? Je la verrais comment ? »
Et puis ensuite la question continue : « comment puis-je aider l'Eglise (les communautés chrétiennes que je connais) à être dans la société, davantage au service ? »
Là, on va trouver des choses concrètes : les communautés que je connais, comment je peux les aider à être dans la société, davantage au service ? Parfois on voit bien les points d'arrivée, mais là où on a du mal, c'est pour voir le chemin par où y arriver. Eh bien, c'est pour cela que nous vous invitons à réfléchir aussi à cela : comment vous allez pouvoir aider votre communauté à être davantage au service ? Après tout, si nous sommes ici, c'est que nous sommes délégués ; ça veut dire que notre communauté, elle attend quelque chose de nous. Alors, qu'est-ce qu'on va pouvoir lui proposer ?
Vous savez : on compte vraiment sur vous pour cela, pour aider l'Eglise à être davantage servante. Et si nous y tenons, c'est que aider l'Eglise à être davantage servante, à être davantage diaconale, c'est rappeler l'Eglise à sa vocation, c'est lui redire ce qu'elle est.
Car de fait, le message que l'Eglise porte, la Bonne Nouvelle qu'elle est chargée de faire entendre, c'est précisément un appel à l'existence, adressé à toute personne. Cet appel, vous le savez, il nous vient de très loin ; le Christ l'a porté de la part de son Père, dans la force et dans la faiblesse, dans la joie, et sur la croix. Et sa résurrection est le signe éclatant que cet appel, rien ni personne ne pourra l'étouffer.
C'est cela la Bonne Nouvelle que l'Eglise porte. Elle le porte non pas comme dans un petit paquet qu'elle pourrait poser à côté d'elle, non, elle le porte dans sa chair. Comme le Christ.
Et vous savez, il y a là quelque chose d'extrêmement précieux, non seulement pour les chrétiens, mais pour toute la société. Car nous sommes tentés, très souvent, de croire que notre vie, c'est comme une propriété qu'on devrait protéger contre les autres et élargir le plus possible. Alors, on entre dans un monde de compétition, de comparaison, de classements, qui peut se montrer impitoyable. Quand nous croyons cela, nous oublions que notre vie, elle nous a été éveillée en nous par tous ceux qui nous ont appelés à l'existence. C'est cela qui constitue le fonds vivant de l'humanité, et Dieu est là à l'oeuvre, partout où des hommes s'appellent ou se rappellent à l'existence.
Durant ces trois jours, vous pourrez rencontrer beaucoup de personnes, entendre parler d'initiatives, être témoins de ce que ça change, quand on se met sur le chemin du Serviteur. Alors, profitons- en, ouvrons tout grand nos oreilles, laissons- nous surprendre, laissons -nous étonner, car il se pourrait que l'Esprit veuille nous dire des choses et ouvrir de nouvelles routes pour l'Eglise.
source http://diaconia2013.fr/
" Servons la fraternité "
Message final du rassemblement " Diaconia 2013 Servons la fraternité ", à Lourdes, du 9 au 11 mai 2013.
Personne n'est trop pauvre pour n'avoir rien à partager. La fraternité n'est pas une option, c'est une nécessité. Nous en avons fait l'expérience forte et joyeuse à 12 000, lors du rassemblement Diaconia, de toutes origines et de toutes conditions, représentant des centaines de milliers de chrétiens engagés au service de leurs frères.
A la lecture de l'Evangile, à la suite du Christ serviteur, tous ont appris à écouter la voix des pauvres de notre temps. Chacun a été entendu dans sa singularité : ceux qui souffrent, malades, handicapés, personnes seules ou abandonnées, sans domicile ou mal logées, chômeurs ou précaires, divorcés, remariés ou non, salariés en souffrance ou menacés dans leur emploi, jeunes sans perspectives d'avenir, retraités à très faibles ressources, locataires menacés d'expulsion, tous ont pris la parole. Leurs mots, leurs colères sont aussi dénonciation d'une société injuste qui ne reconnaît pas la place de chacun. Ils sont une provocation au changement. Il est temps de sortir de nos zones de confort. Comme le dit le Pape François, il est temps d'aller aux périphéries de l'Eglise et de la société.
Ensemble, osons le changement de regard sur les plus fragiles. Abandonnons un regard qui juge et humilie pour un regard qui libère. Nous n'avons pas de prochain clé en main. La proximité se construit chaque jour.
Ensemble, osons le changement d'attitude au sein des communautés chrétiennes pour que les pauvres y tiennent toute leur place. Cette conversion passe notamment par un développement des collaborations dans et hors de l'Eglise.
Ensemble, osons le changement de politiques publiques, du local à l'international. Que les décisions prises visent à prendre en compte la situation des plus fragiles dans le respect, la justice et la dignité.
Ensemble, osons le changement dans nos modes de vie, pour respecter la création où les liens humains sont premiers et préserver l'avenir des générations futures.
Le rassemblement Diaconia, voulu par l'Eglise de France, est une étape. Le temps de l'engagement se poursuit. Les participants appellent tous les baptisés et tous les hommes et femmes de bonne volonté qui se retrouvent dans les valeurs de l'Evangile, à se mettre en route, ensemble, pour construire une société juste et fraternelle. Une société où l'attention aux pauvres guide toutes nos actions.
Lourdes, le samedi 11 mai 2013
A la lecture de l'Evangile, à la suite du Christ serviteur, tous ont appris à écouter la voix des pauvres de notre temps. Chacun a été entendu dans sa singularité : ceux qui souffrent, malades, handicapés, personnes seules ou abandonnées, sans domicile ou mal logées, chômeurs ou précaires, divorcés, remariés ou non, salariés en souffrance ou menacés dans leur emploi, jeunes sans perspectives d'avenir, retraités à très faibles ressources, locataires menacés d'expulsion, tous ont pris la parole. Leurs mots, leurs colères sont aussi dénonciation d'une société injuste qui ne reconnaît pas la place de chacun. Ils sont une provocation au changement. Il est temps de sortir de nos zones de confort. Comme le dit le Pape François, il est temps d'aller aux périphéries de l'Eglise et de la société.
Ensemble, osons le changement de regard sur les plus fragiles. Abandonnons un regard qui juge et humilie pour un regard qui libère. Nous n'avons pas de prochain clé en main. La proximité se construit chaque jour.
Ensemble, osons le changement d'attitude au sein des communautés chrétiennes pour que les pauvres y tiennent toute leur place. Cette conversion passe notamment par un développement des collaborations dans et hors de l'Eglise.
Ensemble, osons le changement de politiques publiques, du local à l'international. Que les décisions prises visent à prendre en compte la situation des plus fragiles dans le respect, la justice et la dignité.
Ensemble, osons le changement dans nos modes de vie, pour respecter la création où les liens humains sont premiers et préserver l'avenir des générations futures.
Le rassemblement Diaconia, voulu par l'Eglise de France, est une étape. Le temps de l'engagement se poursuit. Les participants appellent tous les baptisés et tous les hommes et femmes de bonne volonté qui se retrouvent dans les valeurs de l'Evangile, à se mettre en route, ensemble, pour construire une société juste et fraternelle. Une société où l'attention aux pauvres guide toutes nos actions.
Lourdes, le samedi 11 mai 2013
source: www.eglise.catholique.fr
19/05/2013
« Viens Esprit Saint »
«Pauvre Eglise!» s’exclame le jeune clerc sanglé dans son uniforme anthracite et chaleureusement approuvé par une équipe de jeunes couples appréciant la sentence.
«Pauvre Eglise ! Elle a abandonné ses pratiques séculaires, sa langue universelle, ses signes distinctifs et surtout l’affirmation claire de sa doctrine immuable. Elle a supporté ses prêtres sécularisés qui ont voulu se faire peuple et n’ont réussi qu’à l’éloigner de nos églises. Et ce Concile, dont on a fait la Loi et les Prophètes et qui a été si mal interprété!
Oui, nous, les jeunes générations nous payons les inconséquences de nos anciens mais, nous voilà sur le chantier, «réparateurs de brèches », et, Dieu aidant, nous referons catholique notre Eglise. D’ailleurs, l’Esprit Saint ne l’a jamais abandonnée et Il lui a donné en la personne de nos derniers souverains pontifes les chefs qu’elle attendait.»
« Pauvre Eglise!» me murmure au creux de l’oreille, ce vieux militant chrétien à la sortie d’une réunion clairsemée.
« Nous voilà revenus au temps des dentelles et des courbettes, de l’arrogance des héritiers et du mépris pour les vieux bergers fatigués, de la componction affichée et des chapes dorées, des processions chantées et des bannières déployées. Et ce Concile, qui avait soulevé tant d’espoirs, le voici soumis à la torture des interprétations, comme s’il n’était qu’une collection de vieux parchemins défraîchis.
Enfin, gardons courage ! L’Esprit Saint n’a jamais abandonné l’Eglise et le peuple chrétien saura bien garder le sens de la Foi malgré tout et tous ! »
Même constat au départ, même constat à l’arrivée. Entre les deux de quoi diverger, se soupçonner, s’invectiver, s’ignorer et peut-être se détester.
A moins que chaque clan retourne sur lui-même le mot « pauvre » et puisse dire avec l’adversaire : « Oui, pauvre Eglise car elle continue avec nos pauvretés, nos rigidités, nos légèretés et nos outrances à témoigner de Celui qui se révèle encore à ceux et celles qui sont en attente. Car le «Peuple est en attente», non pas d’une Eglise timorée ou triomphante, grincheuse ou souriante, ignorante ou savante, mais de Celui qui peut, comme un enfant, lui ouvrir un avenir.
Alors, les uns et les autres reconnaîtront qu’aucune langue ne peut, seule, exprimer Celui qui reste l’Ineffable et toutes resteront nécessaires pour se faire entendre des multitudes.
Aucune expression doctrinale ne pourra s’arroger, seule, le monopole de la Vérité et toutes les approches théologiques seront requises pour refléter un rayonnement de la lumière du Verbe.
Aucune liturgie n’atteindra, seule, l’intensité de la Sainte Cène, mais tous les rites s’y essaieront, et chacun pour sa part lèvera un coin du voile du mystère divin.
Pauvre et Sainte Eglise tout à la fois, qui continue à aller de l’avant avec et malgré nos sursauts et nos envasements, nos assauts fracassants et nos chutes vertigineuses, nos arrêts fréquents et nos changements de direction.
Jamais l’obscurité de la nuit de Bethléem n’éteindra le scintillement de l’étoile des mages dans le ciel du peuple en attente.
Et au terme de son long voyage, la lumière falote des lanternes des bergers de la première Eglise suffira pour lui désigner « l’enfant couché dans une mangeoire ».
Abbé Jean Casanave
10/05/2013
Prières à Marie, reine de la paix

Ô Mère de miséricorde,
nous confions à ton cœur et à ton amour
le peuple entier et l'Église de cette terre.
nous confions à ton cœur et à ton amour
le peuple entier et l'Église de cette terre.
Garde-nous de toute injustice,
de toute division,
de toute violence et de toute guerre.
de toute division,
de toute violence et de toute guerre.
Garde-nous de la tentation
et de l'esclavage du péché et du mal.
Sois avec nous!
et de l'esclavage du péché et du mal.
Sois avec nous!
Aide-nous à vaincre le doute par la foi,
l'égoïsme par le service,
l'orgueil par la mansuétude,
la haine par l'amour.
l'égoïsme par le service,
l'orgueil par la mansuétude,
la haine par l'amour.
Aide-nous à vivre l'Évangile
et la folie de la Croix
afin de pouvoir ressusciter avec ton Fils
à la vraie vie, avec le Père,
dans l'unité de l'Esprit Saint.
et la folie de la Croix
afin de pouvoir ressusciter avec ton Fils
à la vraie vie, avec le Père,
dans l'unité de l'Esprit Saint.
Ô Mère du Christ,
sois notre réconfort
et donne force à tous ceux qui souffrent :
aux pauvres, à ceux qui sont seuls,
aux malades, aux non-aimés, aux abandonnés.
sois notre réconfort
et donne force à tous ceux qui souffrent :
aux pauvres, à ceux qui sont seuls,
aux malades, aux non-aimés, aux abandonnés.
Donne la paix à notre terre divisée;
et à tous, la lumière de l'espérance.
et à tous, la lumière de l'espérance.
Pape Jean-Paul II
---------------------------------------------------------------------------
Sainte Marie, mère de l'Amour,
qui, serrant dans tes bras
le doux fruit de ton sein,
entendis résonner dans les cieux de Bethléem
l'annonce angélique de la paix,
premier don au monde du Verbe fait chair,
tourne avec bienveillance ton regard
vers la sombre nuit de notre terre
encore ivre de haine et de violence.
Mère de miséricorde,
qui donnas au monde le Sauveur,
obtiens pour les gouvernants la sagesse
et le discernement,
afin qu'ils utilisent les conquêtes de la science
et de la technique
pour promouvoir un développement humain
respectueux de la création
et des projets de justice, de solidarité et de paix.
Fais que les ennemis s'ouvrent au dialogue,
que les adversaires se serrent la main
et que les peuples se rencontrent dans la concorde.
Vierge Marie,
qui, dans le secret de la maison de Nazareth
as vécu avec amour simple et fidèle
la dimension quotidienne du rapport familial,
entre dans chacune de nos familles
et dissous le gel de l'indifférence et du silence
qui rend étrangers et lointains
les parents entre eux et avec leurs propres enfants.
Marie, reine de la paix,
aide-nous à comprendre que la paix primordiale
que nous devons atteindre
est celle du coeur libéré du péché,
et fais qu'ainsi purifiés,
nous puissions nous aussi devenir
des constructeurs de paix,
afin que la cité de l'homme
puisse se transformer en chantier laborieux
où se réalise le salut du Christ ton Fils,
qui est la paix véritable et durable. AMEN!
Cardinal RENATO R. MARTINO
22/04/2013
Prière de la Journée Mondiale des Vocations 2013
Seigneur,
le monde de notre temps te cherche,
tantôt dans l’angoisse,
tantôt dans l’espérance.
Qu’il puisse recevoir la Bonne Nouvelle,
de témoins dont la vie
rayonne de foi et de joie.
Que nos communautés
soient le signe lumineux de ta présence.
Rends-nous acteurs d’espérance.
Et quand nous sommes tristes et découragés,
Impatients ou anxieux,
Augmente en nous la foi, l’espérance et la charité
Nous te le demandons à Toi
qui nous appelles aujourd’hui et toujours.
Amen !
15/03/2013
Une voix, une plume, des gestes
Le prophète:
Et quelle voix ! Elle a retenti jusqu’au bout de la terre !
Et le prophète a crié son espérance jusqu’au bout de la souffrance.
Le docteur:
Benoît XVI, l’homme aux petits pas a pris la plume.
Il l’a trempée dans la Foi et dans la raison et nous a laissé des textes au goût de pain béni.
Et le Pape-docteur s’en est allé sans bruit. Il avait tout dit et certainement beaucoup appris.
Le pasteur
François est venu. Il a posé les gestes du pasteur.
Il a le regard attentif, l’humilité du simple ; il est familier du silence.
Il lui faudra beaucoup marcher comme tous les bergers, en tête mais aussi à l’arrière et sur les flancs du troupeau. Il avait oublié la crosse dorée adaptée aux allées droites et balisées. Je suis prêt à lui donner mon bâton de buis taillé au pays des brebis. Il est plus utile dans les sentiers escarpés…
Abbé Jean Casanave
05/03/2013
Le Secours Catholique organise une grande braderie les
6 et 7 mars de 9h à 17h
à la boutique solidaire du IV septembre à Oloron.
Vente de vêtements, chaussures, jouets, livres, vaisselle etc.
Accueil chaleureux assuré...venez nombreux!
17/02/2013
Discours de Benoit XVI au
Consistoire le 11 Février 2013
"Frères très chers,
Je vous ai convoqués à ce Consistoire non seulement pour les trois canonisations, mais également pour vous communiquer une décision de grande importance pour la vie de l’Eglise. Après avoir examiné ma conscience devant Dieu, à diverses reprises, je suis parvenu à la certitude que mes forces, en raison de l’avancement de mon âge, ne sont plus aptes à exercer adéquatement le ministère pétrinien. Je suis bien conscient que ce ministère, de par son essence spirituelle, doit être accompli non seulement par les œuvres et par la parole, mais aussi, et pas moins, par la souffrance et par la prière.
Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et annoncer l’Evangile, la vigueur du corps et de l’esprit est aussi nécessaire, vigueur qui, ces derniers mois, s’est amoindrie en moi d’une telle manière que je dois reconnaître mon incapacité à bien administrer le ministère qui m’a été confié.
C’est pourquoi, bien conscient de la gravité de cet acte, en pleine liberté, je déclare renoncer au ministère d’Evêque de Rome, Successeur de saint Pierre, qui m’a été confié par les mains des cardinaux le 19 avril 2005, de telle sorte que, à partir du 28 février 2013 à vingt heures, le Siège de Rome, le Siège de saint Pierre, sera vacant et le conclave pour l’élection du nouveau Souverain Pontife devra être convoqué par ceux à qui il appartient de le faire.
. Frères très chers, du fond du cœur je vous remercie
pour tout l’amour et le travail avec lequel vous avez porté avec moi le poids
de mon ministère et je demande pardon pour tous mes défauts. Maintenant,
confions la Sainte Église de Dieu au soin de son Souverain Pasteur, Notre
Seigneur Jésus-Christ, et implorons sa sainte Mère, Marie, afin qu’elle assiste
de sa bonté maternelle les Pères Cardinaux dans l’élection du Souverain
Pontife. Quant à moi, puissé-je servir de tout cœur, aussi dans l’avenir, la
Sainte Église de Dieu par une vie consacrée à la prière.
31/12/2012
Annonces paroissiales du 31 décembre 2012 au 06 janvier 2013
Paroisse La Trinité d'Oloron
http://paroisselatriniteoloronstemarie.blogspot.fr
|
Messes de semaine :
.Tous les jours :
9 h - Carmel
Lundi, Mardi, Mercredi:
18h30-Cathédrale Ste Marie
.Jeudi 3 janvier
14h Fondation Pommé
18h30 – Bidos
|
Adoration :
Mercredi 2 janvier de 12h à 18h30-Cathédrale
(s'inscrire sur la feuille à l'église)
Prière de louange :
Tous les vendredis :
18h30 – Cathédrale Ste Marie
| |||||||||||
Messes dominicales :
•Samedi 5 janvier:
18h30 – Église Notre Dame
•Dimanche 6 janvier:
9h – Carmel
10h30 – Cathédrale Ste Marie
18h30 – Église Ste Croix
|
Liturgie des heures
Jeudi 3 janvier:
Vêpres en béarnais à 18h30 Ste Croix
vendredi 4 janvier:
Laudes en béarnais: 10h Notre Dame
| ||||||||||||
|
Jeudi 3 janvier:
14h30: réunion catéchisme CM
presbytère.
| ||||||||||||
St Jacques du Piémont
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Messes de semaine :
•Jeudi 3 janvier
9h – Aren
(Famille Miqueu)
•Vendredi 4 janvier
15h CAPA Gurmençon (I.P)
18h – Agnos
(Famille I.P)
|
Chapelet :
•pas de chapelet
cette semaine
| |||||||||||
Messes dominicales :
•Samedi 5 janvier
18h30 – Geüs
(Louis Lamongesse-Sigaud)
•Dimanche 6 janvier
10h30 – Gurmençon
(Corinne Lacoume et Famille Laborde-Boy)
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