Humons joyeusement l’humeur du temps.
Du temps qui reste, qui passe, du jour qui s’allonge,
du soleil matinal de plus en plus chaud qui caresse
les visages et les âmes.
Des sourires que l’on croise (quand même !)
Des croyants qui espèrent et qui œuvrent.
Des intelligences qui cherchent,
des tempéraments qui prennent toute chose à bras-le-corps.
Des marcheurs de ville et des champs.
Des inventeurs de joie, des ouvriers du ciel,
des perceurs de secret, des talents et des dévouements.
De ceux qui se font discrets dans le secret de leur conscience.
Des bienveillants, des patients, des ardents de l’altérité, des veilleurs.
C’est cela qui revient au matin de Pâques !
La joie obstinée d’être.
Du temps qui reste, qui passe, du jour qui s’allonge,
du soleil matinal de plus en plus chaud qui caresse
les visages et les âmes.
Des sourires que l’on croise (quand même !)
Des croyants qui espèrent et qui œuvrent.
Des intelligences qui cherchent,
des tempéraments qui prennent toute chose à bras-le-corps.
Des marcheurs de ville et des champs.
Des inventeurs de joie, des ouvriers du ciel,
des perceurs de secret, des talents et des dévouements.
De ceux qui se font discrets dans le secret de leur conscience.
Des bienveillants, des patients, des ardents de l’altérité, des veilleurs.
C’est cela qui revient au matin de Pâques !
La joie obstinée d’être.
(Bruno Frappat, journal La Croix)
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